Gastronomie textuelle

Le blog d'un Indo-Européen, un blog communautariste où nulle pitié, nulle vertu de "tolérance", nulle bienséance hypocrite envers mes ennemis ne seront exercées.

Un simple blog à tout faire, qui pourra évoluer, et qui compte présenter tout et rien : photos, articles de fond, analyse de l'actualité, témoignages du passé, visions du futur, cauchemars de l'ici écrasants, rêves de l'ailleurs évoqués.

Un blog, parmi tant d'autres, qui n'a pour seule prétention que de créer un espace sécurisé, sanctuarisé, une fenêtre sur ce qui n'est plus, ce qui devient et ce qui aurait dû advenir. Pourquoi l'orage souverain ?

De toutes les divinités indo-européennes, c’est le dieu de l’orage et de la guerre, que nous appellerons *Maworts, qui est le plus capable d’apparaître sous la forme d’un animal, généralement correspondant à sa nature complexe. C’est sous cette forme qu’il conduit vers un nouvel emplacement une jeune génération chassée par sa tribu selon le rite du printemps sacré, dans la tradition italique. Il fut un loup pour Romulus et Rémus, fondateurs de Rome, mais aussi a pu apparaître pour d’autres peuples sous la forme d’un taureau, d’un pivert, d’un cheval ou encore d’un ours.

Les animaux liés au dieu de l’orage et de la guerre et sous la forme desquels il peut apparaître, relèvent de plusieurs fonctions, qui peuvent se recouper. La première fonction est l’association à l’orage et à la foudre, et on retrouve le cheval (selon la croyance selon laquelle le son du tonnerre est dû aux chevaux du char du dieu), le pivert, animal qui comme la foudre pouvait selon la tradition abattre des chênes, le taureau, animal porteur de la foudre chez les Indo-Européens (et les autres Européens d’ailleurs), l’aigle de guerre ou le faucon, lui aussi porteur de la foudre entre ses serres, et enfin l’ours, animal capable de grimper aux arbres, donc lien entre le ciel et la terre, et pour cela associé au ciel intermédiaire, le ciel orageux (et auroral/crépusculaire).

La seconde fonction est l’association à la virilité, le dieu *Maworts étant le mâle parfait, la représentation idéalisée du mâle indo-européen. C’est pourquoi tous les animaux symbolisant la virilité et/ou la fécondité masculine sont associés au dieu. Il s’agit dans le désordre du bouc, du cheval là encore, du bélier, du taureau et de l’ours, et les Indo-Iraniens y rajouteront l’éléphant et le chameau, animaux inconnus des Indo-Européens. Le lion est absent de cette liste, car animal associé à la royauté céleste et au soleil, au dieu *Dyeus donc, et connu des Indo-Européens (i.e *singhos) car présent à l’époque préhistorique en Europe (« leo europaeus », éteint).

La troisième fonction est l’association à la guerre au sens strict, et sont ainsi retenus les animaux de nature belliqueuse. On retrouve les animaux déjà évoqués, à l’instar du bélier et du taureau (l’association de ce dernier à la couleur rouge, couleur symbolique du dieu guerrier, et qui le rendrait furieux remonte donc à une vieille histoire), mais plus généralement le cheval, animal utile au combattant, le loup, honoré pour sa valeur guerrière reconnue, et animal par excellence du dieu, mais aussi le corbeau, combattant mais aussi charognard, nettoyant le champ de bataille comme le vautour, autre animal de *Maworts. A cette liste, on retrouve d’autres animaux à la nature belliqueuse, comme le coq, le milan, le chat mâle (« matou ») et le chien.

T. Ferrier, PSUNE

A bientôt ici-même.

Le dieu indo-européen de l’orage apparaît donc comme l’ennemi privilégié du serpent du chaos sous ses deux formes principales, celle d’un dragon d’une part, celle d’un monstre tricéphale d’autre part. Ainsi, si Python et Jormundgand sont clairement des dragons, Vritra ou Typhon, bien que de nature ophidienne, ont trois têtes. Le combat entre Héraclès et Cerbère, chien tricéphale, s’apparente également à ce genre de combat.

Quant au nom originel de ce serpent destructeur, on peut penser qu’il contenait le terme de *ogwhis, “ serpent ”, ce qui est le cas du serpent de Midgard, Midgards Ormr, du serpent iranien Azi Dahaka, ou encore de l’ennemi de Perun, Zmei.

lundi 8 août 2011

Origine et fausseté du terme "judéo-christianisme"

Légion SS Wallonie, Front de l'Est, 1941. Légende : "Un service religieux dans le voisinage immédiat des premières lignes."


Il se trouve que, même sur les sites et les forums les plus "éclairés", j'entends peu ou prou toujours la même rengaine sur notre "civilisation judéo-chrétienne", que ce soit en louanges comme en critiques acerbes; je n'interviendrai pas sur le thème de la présence des Juifs en France sur le plan historique, mais bien plutôt sur l'escroquerie étymologique du terme "judéo-chrétien", qui est une interprétation purement théologique de la religion chrétienne, d'obédience profondément pharisienne, et dénuée de sens depuis près de 2000 ans.

"Le judéo-christianisme triomphant en 49, s'effondrera; le christianisme paulinien commencera sa destinée triomphale. Au seuil de cette époque se situe le concile de Jérusalem, qui en marque les données; à son terme la chute de Jérusalem qui tranche les questions." (Jean DANIELOU,  L'Église des premiers temps, des origines à la fin du IIIe s., Points Histoire, Tours 1999, p. 37).

"Disons-le, cette Eglise judaïsante [...] supportait mal la greffe de l'Évangile. Elle était ainsi vouée à disparaître. Nous la verrons s'éteindre au terme d'une lente agonie" (Maurice VALLERY-RADOT, L'Église des premiers siècles, Collection Tempus, Paris 2006, p. 131).

"De retour à Antioche vers 48, Paul [l'apôtre des nations] et Barnabé rendent compte de leur mission dont le succès, qui dépassait toutes les prévisions, est considéré comme l'œuvre de l'Esprit-Saint. Toutefois, l'afflux des conversions soulevait un problème. [...] La question se posait toujours de savoir comment admettre dans l'Église les nouveaux convertis. A part les Juifs de race, on distinguait soit les païens d'origine, soit des ressortissants de la mouvance judaïque." (Maurice VALLERY-RADOT, ibid. p. 105.)

"[S]ous les pas de saint Paul, le terrain était bien souvent miné par les Juifs qui ne lui pardonnaient ni sa conversion ni son action apostolique. Il y avait pire. Des prédicateurs 'judéo-chrétiens', dits prédicateurs judaïsants, firent de même. Demeurés fidèles aux pratiques du judaïsme et les estimant obligatoires pour tous, [...] [n]ous avons rencontré ces prédicateurs à Antioche où ils tentèrent de séparer Pierre et Paul. On les retrouvera en Galatie où leur prédication fut sur le point de faire chavirer les Églises que venait de fonder l'Apôtre des Nations. Les voici maintenant à l'œuvre à Corinthe. Ils y perturbent la jeune Église déjà si chancelante [...] Les judaïsants parachèvent leur action dissolvante en dénigrant violemment Paul. A ces attaques, nous devons l'épître aux Galates, toute frémissante d'émotion." (Maurice VALLERY-RADOT, ibid., p. 123).

Du point de vue ethnique et culturel et en tout contexte, les judéo-chrétiens ne sont pas des Européens mais des Juifs, convertis au christianisme au Ier siècle, qui voulaient garder les observances juives dont la circoncision "et l'interdiction de manger avec les non-juifs, c'est-à-dire avec les païens convertis" (Jean DANIELOU, ibid., p. 32).
Or, dès l'origine les Apôtres ont reconnu que la communauté chrétienne était ouverte aux païens (aux nations...) Ceci posera un problème aux "judéo-chrétiens" qui se "sentaient toujours liées par les observances juives" (Jean DANIELOU, ibid., p. 29-32).

"[U]n fait constant : dans toute ville où la pénétration de l'Évangile atteignait un niveau dangereux pour lui, le judaïsme traditionnel qui montait la garde s'efforçait par tous les moyens de livrer l'apôtre [saint Paul] et ses collaborateurs aux autorités romaines dans l'espoir de les faire condamner à mort, à tous le moins à la prison..." (Maurice VALLERY-RADOT, ibid., p. 118). Au départ et tout au long par la suite, la persécution antichrétienne venait bien des Juifs et non des Romains.

"Furent l'objet de leur vindicte Jean, Etienne et Paul, ainsi que les premiers évêques de Jérusalem, Jacques et Siméon. Si Pierre, Jean et Paul échappèrent miraculeusement à la mort, les autres furent exécutés. Pour le sacerdoce juif, le christianisme, qui lui faisait perdre sa raison d'être, se présentait comme la plus redoutable des hérésies qu'il importait dès lors d'éradiquer dans l'œuf en faisant périr sinon tous ses adeptes du moins les meneurs. [...] Un Juif devenu chrétien se mettait automatiquement hors la Loi mosaïque encourant ainsi la peine de mort par lapidation. L'animosité de la Synagogue contre les chrétiens perdura. Les Juifs n'hésitaient pas à les dénoncer à la justice romaine .[..] C'est ainsi que l'évêque de Smyrne, Polycarpe fut brûlé vif et le futur pape Calixte condamné aux mines en Sardaigne..." (Maurice VALLERY-RADOT, ibid., p. 329-330-407).

Un autre élément à prendre en considération est qu'à cette époque, "les pharisiens étaient favorables aux hébreux et hostiles aux hellénistes" (Jean DANIELOU, ibid., p.15). Il existait un courant juif favorable à l'hellénisme dès le IIIe siècle av. J.-C. Or, précisément, le christianisme se répand rapidement chez les hellénistes, païens et juifs, à Antioche [...] Les pharisiens qui n'acceptaient pas Jésus, n'acceptaient pas plus les hellénistes. Ils se rapprochèrent donc des "judéo-chrétiens" et des premiers gnostiques pour contrer les développements du christianisme à l'intérieur de l'Église [...] Ils tentèrent un coup de force au concile de Jérusalem en 49, où l'on vit des "chrétiens de la secte des pharisiens" défendre la thèse de la circoncision des gentils (Jean DANIELOU, ibid., p. 38)... "Pierre au nom des Apôtres, Jacques au nom des anciens tranchent en faveur de Paul. ... Cette décision capitale marque la rupture du christianisme et de la communauté juive, qui va aller en s'accusant dans les années suivantes" (Jean DANIELOU, ibid., p. 38)

Dehors donc l'élément "judéo-"... Aujourd'hui, parler de "civilisation européenne judéo-chrétienne" est donc une parfaite imposture, et même une volonté de désunion et de sape des peuples européens aryens. Ce "judéo-christianisme" s'est éteint en 49 ap. J-C. On retrouvera ensuite les "judéo-chrétiens" dans les sectes hérétiques gnostiques, marcionites, ébionites, les valentiniens, les tatianistes, et dans l'hérésie montaniste. (Jean DANIELOU, ibid., p . 106, 107, 130-132).

"A la suite de l'enseignement de Saint Irénée, tout un courant défavorable au "judéo-christianisme" va s'amplifier dès la fin du IIe siècle, prolongé plus tard par celui d'Origène. "Tous deux considèrent que les judéo-chrétiens forment désormais une secte... Saint Jérôme écrira à leur sujet: 'Ils se veulent chrétiens et juifs. Ils ne sont ni Juifs, ni chrétiens'" (Maurice VALLERY-RADOT, ibid., p. 164-165).

Il faut en finir avec ce terme trompeur de "judéo-chrétien" pour être honnête avec la vérité historique de notre culture, de notre histoire et de notre substrat religieux; que le christianisme soit né en Orient dans une région aux influences multiples, dont celle du judaïsme, cela est su et assumé par tous. En revanche, il s'en est très rapidement éloigné pour s'helléniser, puis s'occidentaliser, se coupant une paire de siècles après sa genèse de ses rares éléments judaïsants, ce qui interdit toute revendication civilisationnelle juive sur le christianisme. Cette interprétation erronée de la Foi, portée par des branches confessionnelles et autres sous-courants aux actions centrifuges à l'aube du christianisme, n'était qu'un outil pour mieux conserver celui-ci dans le sein de la religion juive, ce qui fut un échec, condamné dès le milieu du Ier siècle.

En vérité, chacun dans nos mouvances est libre de penser ce que bon lui semble au sujet du christianisme, de sa genèse et de ses accomplissements comme de son dépérissement actuel, dilué entre son internationalisation édulcorante, son infiltration gauchisto-marxisante et son dépérissement liturgique; chacun peut se forger la conviction que le christianisme est un élément étranger à toute vraie culture aryano-européenne, comme il peut déterminer qu'il s'agit d'un trait fondateur de notre identité passée. En revanche, ce qu'il faut bannir absolument de nos discours et de nos pensées, c'est cette idée que le christianisme serait "judéo-chrétien", et qu'aujourd'hui encore on pourrait jeter un regard en arrière et le nommer ainsi. Il s'agit d'une imposture de plus des Juifs, déterminés à tout relier à leur désert originel et à leur monothéisme branlant, afin de récupérer et de pourrir de l'intérieur tout autre courant, mouvement ou inspiration qui pourrait leur porter tort.

Ne pas tomber dans ce piège lexico-sémantique, c'est combattre déjà le poison distillé par la bien-pensance et les médias aux ordres, de même que sonner le rappel pour tous nos camarades égarés, qui se laissent aller à une fois de plus rattacher leur étant à l'inévitable Israël. Car nous proclamer de culture judéo-chrétienne, c'est bien évidemment annoncer de manière pernicieuse que les Juifs ont leur place ici, et que nos destinées sont communes. Rien n'est plus faux. Face à ces menteries effrontées et pourtant très facilement dissipées, dressons-nous une fois de plus, non pas pour le christianisme en lui-même, mais pour la Vérité, et pour l'assainissement moral et intellectuel de nos rangs. Si nous voulons juger de la valeur d'action du christianisme, il faut déjà dégager sa vraie nature de la gangue de propagande qui l'entoure; peut-être tendrons-nous alors à promouvoir le christianisme positif, comme les Allemands Nationaux-Socialistes des années 1930-1940...

Deutsche Christians

4 commentaires:

  1. Article pertinent. Il faut, en effet, ne rien connaître du judaïsme pour imaginer pouvoir concilier ce dernier avec l'esprit du christianisme tant ils sont antithétiques. Ce prétendu judéo-christianisme n'est qu'un non-sens absurde ouvrant à tous les malentendus possibles. En fait, un concept artificiel sans autre but que de semer l'erreur et le trouble, en un mot: un leurre.
    WH.

    RépondreSupprimer
  2. Mais bien sûr!

    C'est certainement dans cette optique qu'a été enseigné pendant des siècles "Vous, vous adorez ce que vous ne connaissez pas ; nous, nous adorons ce que nous connaissons, car le salut vient des Juifs" - Jean 4-22

    Il est toujours surprenant de lire des personnes comme toi, se prétendant chrétiennes et antisémites, ou encore catholiques et nationale-socialistes. Le christianisme est issu du monothéisme juif et l'actuelle importance sociale des Juifs en Europe découle directement du fait que les apôtres juifs furent accepté par les peuples blancs d'Europe. Dans une perspective freudienne, les Occidentaux furent alors obligés de "tuer leur pères" païens européens pour faciliter l'expansion du christianisme: par conséquent, et contrairement à ce que soutiennent beaucoup d'antisémites, la forte influence juive en Occident n'est pas uniquement due aux Juifs, mais résulte logiquement de ce que les Gentils sont accepté les mythes fondateurs juifs qui, au cours des siècles, se sont introduit en Europe dans leurs diverses modalités chrétiennes. L'antisémitisme chrétien peut donc être décrit comme une forme dénaturée de philosémitisme déguisé, et qui, ne pouvant donner corps à la croyance en la propre élection du peuple qui le pratique, projette sa supériorité manquée dans sa haine des Juifs.



    Si dès l'après Seconde Guerre Mondiale l'Europe devint pour les Juifs un parfait laboratoire d'expérimentations multiculturelles, multiraciales et intello-psychiatriques, c'est que cette ingénierie sociale fut grandement facilitée par l'inconscient collectif des peuples européens christianisés qui les fait se considérer spirituellement comme des Juifs. (Souvenons-nous du "Spirituellement, nous sommes tous des sémites" du pape Pie XI le 6 septembre 1938). Les confessions chrétiennes étant toutes des variantes du monothéisme juif, toute l'histoire de l'antisémitisme sans bases raciales en Europe ressort de la névrose sociale. Quant au philosémitisme dans sa variante considérant les Juifs comme "peuple élu" en raison de leur surreprésentation dans certaines sphères "intellectuelles", il équivaudrait à reconnaître le virus du sida comme forme supérieure du simple fait qu'il est capable d'abattre un corps humain en dépit de sa petitesse.



    Il en va de même pour les "révisionnistes catholiques" de l'acabit d'un Vincent Reynouard ou d'un Mgr Richard Williamson, tant le fait de dénoncer le mythe de l'Holocauste juif national-socialiste tout en croyant à la mythologie de la résurrection de Jésus-Christ est une preuve d'incohérence morale. Il n'y a donc point lieu de s'étonner que les écrits critiques sur l'Holocauste juif national-socialiste suscite une si forte indignation chez les peuples chrétiens: comment peut-on rejeter l'histoire évidente dudit Holocauste tout en acceptant l'histoire juive évidente de Jésus-Christ? Un antisémite chrétien ne peut que sembler aux yeux des Juifs une espèce bizarre: d'un coté, il hait le Juif étranger, mais de l'autre se cramponne à une déité levantine à l'origine culturelle extra-européenne. Et l'arrogance juive persistera et continuera à croître aussi longtemps que les chrétiens européens Blancs, qui s'autocensurent et se surveillent mutuellement, la sustenteront de passages appropriés de la Bible.

    RépondreSupprimer
  3. Un autre paradoxe _ qui explique certainement le dérèglement sexuel de beaucoup de chrétiens _ est leur puritanisme obsessionnel, pourtant en contradiction flagrante avec le message des Evangiles ! Car contrairement à ce qu'ont voulu inculquer les principaux cultes chrétiens , la femme sexuellement assumée avait la préférence de Jésus , et non pas la vierge effarouchée ou confite dans sa dévotion! Ainsi la fameuse Samaritaine vit en concubinage après avoir eue plusieurs maris : Jésus lui dit : ''Tu dis bien : 'Je n'ai pas de mari' ; tu en as eu cinq et l'homme que tu as n'est pas ton mari. ( Jean 4-18 ) : il ne l'en défend que plus! Il empêche la lapidation de la femme adultère ( Jean 8-3 à 8-11 ) même s'il conclut par " Va et désormais ne pèche plus" et sa compagne, sa disciple bien-aimée, l'"apôtre des apôtres" est la prostituée Marie-Madeleine !



    La persécution des Juifs, représentés comme les pires ennemis du christianisme, résultait de leur proximité "généalogique" et de leur refus de se convertir pour reconnaître la chrétienté comme le "véritable Israël" . Il y a longtemps eu un violent antijudaïsme chrétien, des homélies "Adversus Judaeos" de Saint Jean Chrysostome au IV° siècle au livre "Von den Juden und ihren Lügen" écrit par Luther en 1542 peu d'obédiences, catholique ou protestante, n'y firent exception . Mais ça n'avait rien de biologique, tout ce qu'ils voulaient étant que les juifs renient leur religion pour embrasser le christianisme: l'Occident, à son zénith, est devenu antisémite dans la mesure où il a toujours aspiré à devenir israélite, et le cessera une fois qu'il sera sorti de cette névrose, c'est-à-dire lorsqu'il aura retrouvé ses propres mythes.


    Le plus grave reproche que l'on puisse formuler à l'encontre de la mentalité judéo-chrétienne est d'avoir inauguré la forme séculaire d'une anthropologie égalitaire, universaliste et mondialiste: la croyance judéo-chrétienne qu'il n'existe qu'un seul dieu devient, après sécularisation, celle qu'il n'y a qu'une seule vérité, valable pour tous les humains sans distinction de race ou de culture, et conduit à minimiser ou effacer tout autre système politique ou système de valeurs possible. Le monothéisme judéo-chrétien, de par son exclusivisme, présuppose tant l'idée sous-jacente d'universalisme que l'édification d'une vérité incontestée et unique: la démocratie libérale comme horizon indépassable de l'histoire de l'humanité, et l'avènement d'une ère ahistorique.

    On ne peut donc faire des Juifs la cause unique et suffisante de la subversion mondialiste, sauf à leur reconnaître une supériorité raciale: les Juifs auraient donc été plus forts que le monde aryen en ordre et en pleine possession de ses moyens? Absurde: l'action juive n'a été possible que parce que dans l'humanité non-juive s'était développé un processus de dégénérescence et de désagrégation: le christianisme, avec son universalisme _ ses missionnaires fiévreux s'épandant sur tout le globe pour faire, de quelques gouttes d'eau bénite, nos égales de races figées dans leur stupeur protohistorique depuis des millénaires _ et son refus de l'eugénisme qui a rendu possible la prolifération du déchet biologique qui a affaibli la valeur raciale des peuples européens. L'élément juif ne s'est greffé à ce processus qu'après la Révolution de 1789, avec l'esprit, les instincts et les méthodes qui lui sont propres, les exacerbant jusqu'à une position où, seuls, il ne serait point parvenu.

    RépondreSupprimer
  4. Conclusion :
    Les Européens Blancs d'aujourd'hui qui rejettent l'influence juive doivent donc se persuader que leur névrose disparaîtrait en grande partie s'ils renonçaient à leur fondamentalisme moral biblique _ et je ne parle pas que pour les chrétiens avérés, mais pour celles et ceux qui se comportent comme tels de manière séculaire, en prônant la chasteté ou l'indifférenciation par exemple. La "repentance" imposée par l'hypermoralisme mondialiste aux seuls Gentils de race blanche à propos des oppressions et dépotations dont est remplie l'histoire de l'Occident n'y trouve t-elle pas un terreau aussi favorable, que parce que leurs inconscients collectifs ont été infectés durant des siècles par le très chrétien dogme de péché originel et la très augustinienne notion de culpabilité? Et c'est bien de là que viennent toutes les pathologies mentales de l'Occident: les peuples et les races ne perçoivent pas les choses de la même manière car chacun possède un inconscient collectif, incluant un inconscient racial et ethnique, qui a un impact important et qui détermine l'Etre profond et l'identité de ce peuple ou de cette race. Chacune possède sa propre âme, et pour cette raison on ne peut, sans graves dommages psychiques, transplanter en bloc l'esprit d'une race étrangère dans la mentalité d'une autre.

    RépondreSupprimer